Analyses / Réflexions

Les émois d’Aphrodite  (1986) – 35′

Pour piano, clarinette, percussion et bande magnétique

 

Ce sont les épisodes de la vie d’une femme invisible. Moi, Aphrodite, elle me plaît bien, elle est à la fois si loin qu’on ne peut la voir, mais aussi, elle a traversé les temps malgré qu’on ait pu la trouver impudique, malgré qu’on l’ait brûlée plusieurs fois pendant l’Inquisition. Et puis, elle danse.

Alors, modestement, je me suis mis à évoquer ses émois, même si je l’oublie dans les fils de la musique… et c’est pour ça que je donne les titres des différentes parties, mais est-ce une indication ? :

 

Une première danse – un morceau de peur – une deuxième danse – un mouvement d’amusement – une troisième danse – une bonne portion de trip charnel – enfin, une danse sauvage d’Aphrodite.

Oui, je ne sais pas si ça éclaire grand chose…