Conte Sentimental N° 4 (juin 1990)
Musique De Luc Ferrari : La Chanson de la Forêt (1982)
Réalisation : Brunhild Meyer Ferrari
Production : La Muse en Circuit, Paris 1990 ; pour le Südwestfunk
Première diffusion : 18 juin 1990 – 30 minutes
Ce Conte Sentimental parle de l’amitié entre Henry Fourès et Luc Ferrari qui se sont rencontrés dans les Corbières au cours du Conte Sentimental N° 3, raconte les concerts qu’ils ont faits ensemble dans des caves coopératives vinicoles et à la maison de la radio de Francfort, raconte aussi comment ils transforment le « Taunus » en une forêt du XIXe siècle avec son « acoustique magique ». Et enfin surgit la chanson de la forêt, doucement, comme si l’âme de la forêt chantait avec une voix de femme nue. (H.N.)
« Ce conte est comme un cirque.La forêt ressemble à un amphithéâtre. Nous l’avons peuplée de personnages, avons fait éclater un faux orage, avons fait tomber une pluie qui ne mouillait rien. Les perspectives s’embrouillaient et des voix de femmes dialoguaient sans jamais se rencontrer… » (L.F.)
Chant : Elise Caron. Piano : Denis Chouillet
Avec Henry Fourès, Jules Calmettes, Richard Breton, Alain Joule
Sentimentale Erzählung Nr. 4 (Juni 1990)
Musik Von Luc Ferrari : La Chanson de la Forêt (Das Lied des Waldes) (1978)
Realisation : Brunhild Meyer Ferrari
Produktion : La Muse en Circuit, Paris 1990 für den SWF
Ursendung : 18. Juni 1990 – 30 Minuten
Das Lied des Waldes erzählt von der Freundschaft zwischen Henry Fourès und Luc Ferrari, die sich in den Corbières im Verlauf der Sentimentalen Erzählung Nr. 3 begegnet sind; erzählt von gemeinsamen Konzerten in +Winzergenossenschaften und im Frankfurter Funkhaus und davon, wie sie den Taunus verzaubern – in einen Wald des 19. Jahrhunderts mit seiner “magischen Akustik”. Und schließlich erklingt das Lied des Waldes, zart, als ob seine Seele mit einer Elfenstimme singt. (H.N.)
“Diese Erzählung ist wie ein Zirkus. Der Wald glich einem Amphitheater. Hinterher haben wir ihn mit Figuren bevölkert, haben ein künstliches Gewitter ausbrechen lassen, haben Regen fallen lassen, der nichts benetzte. Die Perspektiven verschwammen, und die Frauenstimmen dialogisieren miteinander, ohne sich jemals zu begegnen…” (L.F.)
Gesang: Elise Caron. Klavier: Denis Chouillet
Mit Henry Fourès, Jules Calmettes, Richard Breton, Alain Joule