Analyses / Réflexions

Société II. Et si le piano était un corps de femme  (1967)

Pour quatre solistes et seize instruments  — Env. 30′

Partition : Éditions Moeck.

(Flûte, hautbois, clarinette, basson, cor, trompette, trombone, 4 violons, 2 alti,

2 violoncelles, 1 contrebasse, Solistes : 1 piano, 3 percussions)

 

Paris, 1968.

On peut dire que cette pièce se situe comme théâtre musical dans la mesure où les quatre solistes (piano et trois percussions) rivalisent d’intérêt pour le corps du piano. On pourrait presque trouver là, si on voulait, mais ce n’est pas sûr, la caricature d’une société macho.

 

Paris, 2000

Je dirais plutôt maintenant que cette sorte de concerto d’une vitalité étrange montre plutôt les extravagantes qualités du piano en harmonie, en imagination et en sauvagerie.

 

Disque Deutsche Grammophon – Série Avantgarde (vinyle)