Catalogue

(*) Ce signe indique les œuvres difficilement ou plus du tout jouables, à déconseiller ou au repos. (Brunhild Meyer-Ferrari)

1989

 

(*) Musique dans les spasmes (septembre 1988 – février 1989)

Fiction réaliste — Texte
«C’est une sorte de roman (150 pages), fait de souvenirs, de réflexions sur la vie musicale et de contes fantastiques.
Ce texte, avec son parcours daté, est un peu la suite du Journal intime et n’est pas destiné à la publication.»

 

Conte Sentimental N° 1 (janvier – mars 1989) — 29′

Petite Symphonie intuitive pour un paysage de printemps
Bande magnétique stéréo
Réalisation : Brunhild Meyer et Luc Ferrari, en coproduction avec la Südwestfunk (Baden-Baden).
«L’idée de cette série est de prendre une composition existante et de raconter l’histoire qui l’a déclenchée. Ce conte ‘sentimental’ est imbriqué bilingue français et allemand et se mélange à la musique. Ici, la découverte et le choc d’un paysage dans les Causses de l’Aveyron.»
Ce conte ‘sentimental’ est le premier d’une série de 11, réalisés par Brunhild Meyer, sur une idée de Luc Ferrari.
Pour plus de précisions, se reporter au Catalogue ‘Contes Sentimentaux’.

Coproduction : Shiiin & SWR2

Coffret de 4 CD Shiiin (2013)

www.shiiin.com 

www.metamkine.com

 

(*) Extraits du corps (février – juin 1989) — 1 h 30′

Pour quinze musiciens, piano solo et bande magnétique
CM Festival des Manca, Nice, 2 juillet 1989
«Extraits de 9 partitions, s’échelonnant entre 1953 et 1985, en un montage savant et comme un concerto pour piano et orchestre en trois mouvements. Le sens de cette recomposition est celui d’un compositeur qui raconte à sa manière une partie et un des aspects de sa vie : c’est comme des morceaux de son corps. C’est en pensant à ça que j’ai demandé à des jeunes femmes de parler devant un micro des morceaux de leur corps. Cette bande, composée comme un poème, vient donner une dimension spéciale à cette aventure. Ce découpage a été réalisé pour répondre à une demande particulière de Michel Redolfi, directeur des MANCA, et reste une représentation unique.»

 

Photophonie (mai – août 1989) – permanente

Bande magnétique stéréo
CM Musica Strasbourg, 17 sept. – 15 oct. 1989)
Commande de Musica 89 pour l’exposition photographique d’Alain Willaume.
‘Photophonie I’, destinée à la grande salle : trois bandes de 30 minutes qui tournent en permanence, sans jamais se rencontrer dans les mêmes situations.
‘Photophonie II’, destinée à la petite salle : une bande de 15 minutes tournant en boucle.
Raconte des paysages avec la présence invisible du photographe.

 

Presque rien avec filles (août 1989) — 14′

Bande magnétique stéréo
«Dans des paysages paradoxaux, un photographe ou un compositeur est caché, des jeunes filles sont là en une sorte de déjeuner sur l’herbe et lui donnent, sans le savoir, le spectacle de leur intimité.»
CD BVHaast Records Acousmatrix 3 (1990)

CD « Presque Rien » INA-GRM / La Muse en Circuit – MUSIDISC 245172