Catalogue

1986

 

Les émois d’Aphrodite (1986) — 35′

Pour piano, clarinette, percussion et bande magnétique
CM Paris Péniche-Opéra 1986 (P. Dubuisson piano, François Cremer clarinette, P. Cueco percussion)

«Ce sont les épisodes de la vie d’une femme invisible. Moi, Aphrodite, elle me plaît bien, elle est à la fois si loin qu’on ne peut la voir, mais aussi, elle a traversé les temps malgré qu’on ait pu la trouver impudique, malgré qu’on l’ait brûlée plusieurs fois pendant l’Inquisition. Et puis, elle danse. Alors, modestement, je me suis mis à évoquer ses émois, même si je l’oublie dans les fils de la musique… et c’est pour ça que je donne les titres des différentes parties, mais est-ce une indication ? : Une première danse – un morceau de peur – une deuxième danse – un mouvement d’amusement – une troisième danse – une bonne portion de trip charnel – enfin, une danse sauvage d’Aphrodite. Oui, je ne sais pas si ça éclaire grand chose…»

Partition disponible : Brunhild Ferrari

 

 

En un tournement d’amour (juillet – novembre 1986) — 30′

Pour un orchestre de 49 musiciens

(2 flûtes, hautbois, cor anglais, clarinette, clarinette basse, 2 bassons, 2 cors, 2 trompettes, 2 trombones ténors, tuba, timbales, 3 percussions, piano, harpe, 8 violons I, 6 violons II, 6 altos, 4 violoncelles, 4 contrebasses)

CM Belfast 27 avril 2005 BBC Symph.Orch. North Ireland, dir. Philippe Nahon

«C’est un amour qui tourne ou bien c’est un tourment. Ça se répète toujours mais c’est jamais pareil. Les idées vont et viennent. Venue des grandes continuités symphoniques (Cellule 75), mais ayant rencontré en chemin des fragmentations (Collection de petites pièces), cette composition est une grande forme faite de discontinuité. C’est aussi un tournoiement.»
Editions Salabert, Paris