(*) Ce signe indique les œuvres difficilement ou plus du tout jouables, à déconseiller ou au repos. (Brunhild Meyer-Ferrari)
1978
(*) Algérie N°3 : La Société Nationale de Sidérurgie (mars 1976 – janvier 1978) — 35’
Bande magnétique stéréo seule ou bande magnétique et diapositives
Photographies : Djamel Farès
CM Cinémathèque Alger 1978
«Visite à El-hadjar (Annaba). Divers entretiens avec les travailleurs à propos de leurs conditions de travail, de la gestion socialiste et du fonctionnement de l’usine. Reportage illustré par les bruits et les ambiances de la vie quotidienne. Algérie 1, 2, 3 sont aussi des portraits de lieux d’un intérêt sonore certain, malheureusement la « révolution algérienne » qui est exprimée ici comme libération du colonialisme, a cédé la place à un déchirement religieux rétrograde. Ces 3 Portraits sont vraiment dépassés. Hélas !»
A la recherche du rythme perdu – Réflexion sur l’écriture N° 2 (février 1978) — 20′
Pour piano et bande magnétique (peut être joué aussi en ajoutant d’autres musiciens)
CM Béziers. 9 mai 1978. Henry Fourès
«Cette pièce est destinée plus particulièrement à des musiciens de jazz. L’interprète s’interroge sur la question du rythme en agissant musicalement sur la bande magnétique. Situant un climat, la notation et les propositions écrites sont réduites au minimum.»
Edition Maison ONA
CD La Muse en Circuit – Musidisc 242242
Promenade symphonique dans un paysage musical ou
Un jour de fête à El Oued en 1976 (mars 1976 – mars 1978) — 32′
Bande magnétique stéréo seule — A l’origine, version audiovisuelle.
Photographies de Nasser Edin Ghénifi
«Le son du paysage, les voix, le langage, le marché, la fête font une symphonie qui retrace une journée de promenade dans la région d’El Oued,
et situent la musique dans son environnement véritable.»
Disque INA-GRM 9104 fe (vinyle)
CD Sub rosa, Belgique SR252 2006
Chantal, ou le portrait d’une villageoise (juillet 1977 – avril 1978) — 40′
Bande magnétique stéréo
Réalisé en collaboration avec Brunhild Meyer.
«Comment vit une jeune femme née dans un village, 22 ans, un enfant, mariée à un artisan maçon, le SMIG pour le ménage. Elle dit ses occupations, ses désirs, ses troubles, ses problèmes de femme, la recherche de son émancipation.»
Ce qu’a vu le Cers. Réflexion sur l’écriture N° 3 (mai – septembre 1978) — 25’16
Bande magnétique stéréo et groupe instrumental
CM Fylkingen, Moderna Museet, Suède 1979
«Extraits de la préface : “le Cers est un vent du nord qui souffle au pays d’Aude… me plaît aussi la référence à Debussy… ce qui m’intéresse est une subversion de l’écriture… dans le sens où la simplicité est subversive… expérimentation d’une nouvelle simplicité ainsi peut apparaître une autre complexité à l’intérieur du moment…»
Partition disponible : Brunhild Ferrari
Disques : Ventadorn VT 323 (vinyle) CD Musidisc 242262
Apparition et disparition mystérieuses d’un accord (sept. 1978) — Durée aléatoire
Pour quatuor de saxophones alto
«Partition pédagogique destinée à être travaillé dans le cadre d’écoles de musique. La réalisation est décidée par le groupe qui choisit son chemin à travers la partition, en fonction de ses capacités.»
Editions Alphonse Leduc