Analyses / Réflexions

En un tournement d’amour  (juillet – novembre 1986) — (30′)

 

Pour un orchestre de 49 musiciens (2 flûtes, hautbois, cor anglais, clarinette, clarinette basse, 2 bassons, 2 cors, 2 trompette, 2 trombones ténors, tuba, timbales, 3 percussions, piano, harpe, 8 violons I, 6 violons II, 6 altos, 4 violoncelles, 4 contrebasses)

C’est un amour qui tourne ou bien c’est un tourment. Ça se répète toujours mais c’est jamais pareil. Les idées vont et viennent. Venue des grandes continuités symphoniques (Cellule 75), mais ayant rencontré en chemin des fragmentations (Collection de petites pièces), cette composition est une grande forme faite de discontinuité.

C’est aussi un tournoiement.

 

Editions Salabert, Paris